L’Inspection générale de la justice a analysé les meurtres conjugaux commis en 2015 et 2016, définitivement jugés. Dans près de la moitié des cas, un signalement avait déjà été fait à la police ou à la gendarmerie. « Très clairement, ça ne va pas », a reconnu la ministre de la justice Nicole Belloubet dans Le JDD.
Bernard FRIOT, Sociologue et économiste, présente sa conférence gesticulée intitulée "Je veux décider du travail jusqu'à ma mort" 18 nov 18h, Bourse du travail Bordeaux, salle du CE Rez de chaussé. En partenariat entre l'UD-CGT33, la FSU, Espaces Marx Aquitaine, l'UPB, ATTAC33 et le réseau Salariat Gironde.... et de toutes et ceux qui ont à chœur d'élargir les conquis sociaux pour le bien être de tous
La FSU et d’autres organisations syndicales ont adressé, le 8 octobre dernier, un courrier au Ministre de l’Education nationale à ce jour sans réponse. Elles lui demandaient des actes suite au malaise, à l’émotion, à la colère et aux revendications exprimés par les personnels après l’acte dramatique de Christine Renon.
La réforme de l'assurance chômage IMPOSEE par le gouvernement Macron leur permet de faire 4 milliards d'économie sur le dos des chômeurs ! Elle est une véritable régression sociale qui s'attaque à nouveau aux plus précaires d'entre nous...
Le 129èm a eu lieu samedi 2 novembre à Bayonne. Ces assassinats auraient pu être évités. Nous ne laisserons pas ce chiffre passer inaperçu. Mobilisons-nous, les violences faites aux femmes ne sont pas une fatalité.
Pour inverser le cours des choses, conserver et améliorer nos structures publiques hospitalières qui sont les piliers et les garants de notre système de santé solidaire, il nous faut donc des réponses politiques à la hauteur des enjeux. Il est indispensable que nos dirigeants, au plus haut niveau, répondent rapidement à des revendications qui paraissent incontournables.
À Marseille, le 8 décembre 2018, en marge d'une manifestation des « gilets jaunes », des policiers ont fracassé le crâne de Maria∗, 19 ans, lui blessant gravement le cerveau. Notre enquête sur ces violences révèle, preuves à l’appui, la partialité de l’IGPN, la police des polices, et sa volonté d'enterrer les faits et nier les responsabilités.
Rouée de coups de pied par des policiers, Maria, 19 ans, a eu le crâne fracturé et le cerveau atteint. Dix mois plus tard, à Marseille, elle reste sous surveillance médicale. Dans un entretien à Mediapart, elle revient sur les conséquences physiques et psychiques de ces violences et sur les suites judiciaires.
GIRONDE
