Le 8 mars, ce n’est ni la fête des mères, ni la fête des femmes, c’est la journée internationale de lutte pour les droits des femmes.

Nous appelons à la grève féministe pour gagner l’égalité au travail et dans nos vies, pour garantir notre indépendance économique.

Toujours payées un quart en moins,…

Handicapées, nous subissons d’autant plus les violences sexistes, y compris sexuelles, qu’elles soient privées, institutionnelles, médicales, ou économiques.

Travailleuses sans papier, nous voulons être déclarées et pouvoir cotiser.

Nous appelons à la grève féministe pour défendre le droit à l’avortement toujours menacé ou criminalisé dans le monde.

#MeToo a mis en lumière que les violences contre les femmes et les filles étaient partout.

De bons salaires, de bonnes retraites, c’est la garantie de notre indépendance économique.

Nous voulons du temps pour vivre, un vrai partage des tâches domestiques et parentales, …

Nous voulons avoir les moyens de faire nos choix de vie et de vivre librement notre orientation sexuelle et nos identités.

Nous voulons une éducation non sexiste, …

Le 8 mars, on s’arrête toutes et on manifeste.
On fait la grève féministe.