Non, nous ne condamnerons pas ces violences
Des êtres sensés ne recourent pas de gaieté de cœur à la violence. On s’y esquinte. On s’y traumatise. Mais lorsqu’un ordre en place lui-même violent ne laisse pas d’autre choix que de s'insurger ou d'être écrasé, l’alternative n’est plus entre la violence et la paix, mais entre la violence et la violence. La question mérite un peu de sérieux