Le collectif Le Poing Levé reproche à l’Université Bordeaux Montaigne (UBM) son inaction dans l’accueil des étrangers qui étudiaient en Ukraine. L’établissement réfute et assure faire le maximum, sans aide de l’État
En se basant sur les résultats de la présidentielle, l'union des gauches leur permet de se qualifier dans plus de quatre circonscriptions sur cinq, quand le RN, lui, ne serait au second tour des législatives que dans 296 circonscriptions. Selon notre modélisation, LR pourrait disparaître de l'Assemblée.
Une trentaine d’agents de la Direction interdépartementale des routes ont manifesté ce jeudi soir contre les réductions d’effectifs et la dégradation de leurs conditions de travail
Du 2 avril au 3 mai, et grâce à 44 rendez-vous culturels qui ont attiré 4000 spectateurs, le collectif bordelais mobilisé pour l’accueil des réfugiés a réuni « entre 18000 et 20000 euros » au profit de l’association SOS Méditerranée qui vient au secours des migrants en mer.
Pour son second mandat, Emmanuel Macron promet un "renouvellement complet". Des promesses que le président a déjà faites tout au long de son premier quinquennat, notamment en temps de crises.
Alors que son mari purge une peine de prison pour violences conjugales, une femme et ses trois enfants ont été expulsés d’une maison vide qu’ils occupaient depuis quatre mois à Bègles. C’est la seconde expulsion en une semaine dans cette rue.
Le ministère de l’Intérieur avait demandé la dissolution de l’association bordelaise accusée à travers ses publications d’ « appel à la haine » envers l’état d’Israël et de « provocation à des actes terroristes »
La réforme des retraites préconisée par Emmanuel Macron ne changera hélas rien à la situation de Michel : avec une pension mensuelle de 850 euros – très inférieure au seuil de pauvreté, fixé à 1100 euros –, cet ancien chauffeur a beaucoup de mal à joindre les deux bouts.
Le Conseil d’Etat a rendu sa décision ce jeudi 26 avril. Il rejette le recours du Ministère de l’Intérieur après la décision du Tribunal administratif de Bordeaux de suspendre l’arrêté de fermeture temporaire pris par la préfecture de la Gironde. Motif : « rien ne permet de rapprocher la mosquée de Pessac de l’incitation à la commission d’actes terroristes ».
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