DECIDEMMENT, nos décideurs n’ont pas intégré le jour d’après ! désolant…
En plein confinement et prise de conscience du besoin d’un renouveau politique afin d’éviter des catastrophes planétaires aux conséquences d’abord sociales, mais humaines, écologiques et économiques graves, le gouvernement pensait que l’avion devait réduire ses émissions de gaz à effet de serre en supprimant les navettes aériennes. Mais nos décideurs locaux (Maires de Bordeaux, de Mérignac, La Région, aux côtés de la CCI) reviennent sur ces engagements et font délibérément le choix du tout pour l’économie sans penser aux conséquences pour les générations futures. Incapables de mettre des plans d’amélioration des conditions de travail, ou de penser à une autre logique du rendement économique, ils persistent à vouloir garder nos vieilles habitudes, pour un cout de transport dérégulé et un profit maximum.
Article Sud Ouest du 19 mai 2020:
Un courrier commun de la CCI, de la Région, de la Métropole, des mairies de Bordeaux et Mérignac part aujourd’hui pour demander au gouvernement de maintenir la navette Air France Bordeaux-Paris. Car, les conséquences seraient lourdes pour l’aéronautique local
« C’est une mauvaise réponse à une bonne question ». C’est ainsi que débute la lettre à destination du Premier ministre, qui sera postée ce lundi 18 mai et demande le maintien de la navette Air France Bordeaux-Paris.
Région, Métropole, mairie de Bordeaux, CCI, unis dans la bataille
Elle est signée par Alain Rousset, le président de la Région, Patrick Bobet, président de la Métropole, Patrick Seguin, président de la CCI de Gironde, Nicolas Florian, maire de Bordeaux et Alain Anziani, maire de Mérignac. Ce dernier est à l’origine de cette lettre commune.
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