TMC QUOTIDIEN/ CONVERGENCE intermittent.es NON à la réforme de l’assurance chomage !
8 avril, les intermittents du spectacle se mobilisent à PAris pour suspendre des banderoles NON à la REFORME de l'ASSURANCE CHOMAGE !
8 avril, les intermittents du spectacle se mobilisent à PAris pour suspendre des banderoles NON à la REFORME de l'ASSURANCE CHOMAGE !
PESTICIDES EN GIRONDE : NOUS VOULONS UN REFERENDUM LOCAL Le 19 mars 2021, le Conseil Constitutionnel a invalidé les Chartes Départementales autorisant une réduction des distances à respecter entre habitations et zones de traitement avec des pesticides. Il estime que les modalités de consultation qui ont été employées pour élaborer ces chartes contre-viennent à l’article 7 de la Charte de l’Environnement qui prévoit notamment que « Toute personne a [...]
... alors que ce pays est à la pointe en termes d'équipement informatique et de pratiques pédagogiques.
APRES la répression des 4 de MELLE par le Rectorat de Poitiers, le Rectorat de Bordeaux s'en prend à 3 manifestants syndicalistes du lycée MAURIAC! Nous devons défendre nos libertés individuelles et collectives. NON à la criminalisation de l’action syndicale et du mouvement social ! Face à l’arbitraire qui peut s’abattre sur chacun de nous, les organisations syndicales exigent l’abandon immédiat : des mesures et procédures disciplinaires contre nos camarades de Melle Bordeaux, Nice, Clermont-Ferrand ; des menaces de sanctions contre des collègues de Bordeaux Lyon et Toulouse ; l’arrêt total de la répression contre toutes les personnes ayant participé aux actions du mouvement social et syndical partout ailleurs.
Jeudi matin, une soixantaine de personnels de l’éducation nationale et de soutiens étaient présents au rassemblement des accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) devant le rectorat de Bordeaux. A l’occasion de cette action nationale, ces derniers réclament la reconnaissance de leur métier à travers la création d’un statut de la fonction publique et l’application des revalorisations salariales par l’académie de Bordeaux.
Après l’agression d’un collégien jeudi dernier au collège Edouard-Vaillant, 150 à 200 personnes ont manifesté des Aubiers à la préfecture pour réclamer « paix et éducation » dans les quartiers de Bordeaux. Les parents et la mairie demandent une présence policière plus marquée devant l’établissement.
Au soir de ce premier jour d’école à distance, le constat est implacable : les personnels, les élèves et les familles payent une nouvelle fois le prix fort de choix politiques : celui de rien anticiper, de rien préparer.
Comme lors du premier confinement mis en place pour freiner la diffusion du Covid-19, l'école à la maison a débuté mardi 6 avril avec de nombreux bugs signalés par des professeurs, parents et élèves, en raison de serveurs numériques inaccessibles ou défaillants. En marge d'un déplacement, le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer, a pointé du doigt auprès de franceinfo "des attaques informatiques apparemment venues de l'étranger pour empêcher les serveurs de fonctionner"...
Très clairement. Il a eu des déclarations laissant entendre que le virus ne circulait pas dans les écoles et qu'on se contaminait davantage à l'extérieur de l'école. Or Macron ferme l'école pas l'extérieur. Il a beaucoup vanté un modèle français d'ouverture des écoles et en recevoir les mérites. Mais cela l'a conduit à ne pas tenir compte des réalités de l'épidémie au bon moment.
Les établissements doivent réorganiser en hâte les enseignements, mais des enseignants pointent un manque de moyens et un défaut d’anticipation.