Réunions publiques
Mardi 9 avril pour la Rive Droite
Une réunion publique pour quoi faire ? S’informer sur la réforme des collèges. Lutter ensemble, parents et personnels d’éducation pour une école plus juste
Jeudi 11 avril pour Latresne
Salle socioculturelle-Jeudi 11 Avril 18h30 Chers parents, vous êtes conviés à cette réunion coanimée par les fédérations de parents d’élèves et les enseignants du collège Camille Claudel de Latresne.Elle sera l’occasion de faire un état des lieux de la situation, de répondre à vos questions et de formuler des propositions.
Jeudi 28 mars, on continue: collèges morts !
Après le jeudi 21 mars, la FCPE lance un nouvel appel jeudi 28 mars pour une journée « école morte »… Nous vous invitons dès maintenant à prendre contact avec les représentant.es des parents d’élèves de votre établissement, affilié.es au non à la FCPE, pour leur proposer de s’inscrire dans cette action. Pour lancer une opération « collège mort », ce sont les représentants des parents qui doivent communiquer avec les autres parents. Vous pouvez cependant diffuser des tracts en dehors de l’établissement pour expliquer les conséquences de la mise en place du « choc des savoirs ».
Voir tract au lien suivant : https://bordeaux.snes.edu/IMG/pdf/tract_parents_choc_des_savoirs.pdf
La FCPE 33 appelle également à un rassemblement devant le Rectorat de Bordeaux entre 12h et 14h.
→ Lire ici une analyse du SNES-FSU : https://www.snes.edu/article/choc-des-savoirs-les-textes-publies-sont-inacceptables-et-inapplicables/
→ Lire ici le décret portant sur la classe « prépa lycée » : https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000049286397
appel intersyndical FSU FO CGT Educ et SUD Educ de Gironde
Pour la défense du service public d’Éducation :
en grève massive dès le 19 mars !
Alors que les personnels en ont plus qu’assez de la dégradation des conditions de travail, des suppressions et manque de postes, du gel des salaires, le gouvernement s’obstine à imposer le « choc des savoirs » unanimement rejeté. Comme si cela ne suffisait pas, il annonce un vaste plan d’austérité de 10 milliards d’euros, dont 700 millions d’économie dans l’Éducation Nationale. Les économies annoncées vont impacter des postes d’enseignant.es, d’AED, AESH, CPE, AS, PSYEN, personnels médicaux sociaux, administratifs et de direction, d’agents territoriaux. Pour les conditions de travail des personnels et d’apprentissage des élèves, le pire est à venir.
Pour se faire entendre, les collègues de Seine Saint Denis et de d’autres établissements en France ont décidé en AG de se mettre en grève reconductible, sur le mot d’ordre : « Pas de moyens ! Pas de rentrée ! ». La grève dure depuis le 26 février ! Elles et ils ont raison ! La politique de destruction de nos statuts, du service public d’éducation doit cesser.
Nous voulons :
- l’augmentation des salaires par l’augmentation du point d’indice sans contre-partie. 10 % tout de suite et rattrapage des pertes depuis 20 ans,
- les créations de postes statutaires nécessaires dans tous les métiers de l’Éducation Nationale des dotations à hauteur des besoins et baisse substantielle des effectifs par classe,
- un vrai statut, un vrai salaire pour les AESH et AED,
- l’abandon du choc des savoirs et l’abrogation des réformes Macron de la maternelle à l’université.
Pour gagner, une seule solution :
une grève efficace pour construire le rapport de force !
Nous appelons tous.tes les collègues à organiser des réunions d’établissement, d’école, de service ou de secteur pour mettre en discussion la reconduction de la grève et les actions à mener ensemble pour gagner !
Faites remonter dès maintenant vos motions, vos relevés de discussions et de décisions aux organisations syndicales.
Nous appelons à participer ou à se faire représenter massivement à l’AG 15h à la Bourse du travail pour décider des suites,
à manifester pour la défense
de tous les services publics le 19 mars
qui partira à 12h du rond-point de la Préfecture à Bordeaux.
dès le 8 mars,
journée de grève intersyndicale pour la défense des droits des femmes, afin de mettre en avant les revendications pour l’égalité professionnelle
face aux attaques du gouvernement, des droites et extrêmes droites, partout les femmes résistent !
le 19 mars,
pour la mobilisation intersyndicale fonction publique, afin de défendre les carrières, les statuts, la revalorisation des traitements et des pensions
POUR l’augmentation de nos salaires
POUR l’augmentation des postes
POUR la baisse de la précarité
POUR l’amélioration de nos conditions de travail
défendons l’accès aux services publics pour toutes et tous
le 26 mars,
à l’appel du Groupe des 9, sur la défense du pouvoir d’achat des pensions, les questions de santé et pour une véritable loi sur la perte d’autonomie.
La section académique du SNES de Bordeaux appelle à construire un mouvement d’importance et dans la durée, à la hauteur des enjeux et des attentes.
Le SNES s’engage en lien avec la FSU :
- à établir un calendrier d’action dans les intersyndicales éducation et fonction publique
- dans ce cadre, à impulser des mobilisations dès les prochaines semaines
- à faire vivre, en s’appuyant sur sa base syndicale, les revendications dans les établissements par des heures mensuelles d’information syndicale, des AG, par des adresses aux parents, aux élus afin de préparer la réussite de l’action et de gagner.
Enfin le SNES défend la nécessité de construire, dans le cadre fédéral et intersyndical, un rapport de force de haut niveau, ce qui passe en premier lieu par une grève déclinée sur plusieurs jours, articulée autour du 19 mars en mettant en débat la reconduction et la possibilité d’une grève longue.
NON aux « choc des savoirs »
OUI au chocs des salaires !
grève 6 février on continue la mobilisation les 7, _ et 9….
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Jeudi 15 avril
opération collèges morts
collège Mauguin Gradignan
collège Fontaine de Monjous
collège Panchon Arsac
rdv Rectorat 7 fév 14h
appel large pour cette semaine, du 5 au 9 février ! et plus encore si on veut :
Rue89 Bordeaux/ « Halte au mépris » : le monde de l’éducation dans la rue à Bordeaux
Dans le cadre d’une grève nationale, les enseignants et personnels des écoles se sont mobilisés. Dans la capitale girondine, une manifestation de 3000 personnes a rejoint le rectorat en milieu d’après-midi.
Benoît TESTE : le 1er février au delà d’une simple grève !
comprendre la réforme du collège : pourquoi les groupes de niveaux sont ils si néfastes ?
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Appel national Commun :
éducation en danger !
Pour nos salaires, contre les suppressions de postes, contre la mise en place des réformes à marche forcée, nos organisations syndicales FSU, FNEC FP – FO, CGT Educ’Action, SUD éducation appellent à une action de grèves et des manifestations le 1er février 2024.
La crise de recrutement dans l’éducation se pérennise, et toutes les études montrent que la faiblesse des salaires est le premier obstacle à l’attractivité des métiers de l’éducation. Nos organisations exigent de véritables augmentations salariales en particulier par une augmentation significative du point d’indice pour tous les personnels dans ce contexte de forte inflation, ainsi que l’abandon du pacte. Au lieu de poursuivre la dynamique à peine enclenchée avec les mesures mises en œuvre en 2023, le ministre refuse désormais de discuter de nouvelles mesures générales pourtant nécessaires et envisage même une nouvelle transformation des carrières marquée par un poids croissant des hiérarchies.
Enfin, de nombreux signes confirment l’échec du Pacte. Les personnels ont bien compris qu’il ne s’agissait pas d’une revalorisation. La mise en œuvre du Pacte a également profondément divisé les équipes, d’autant plus que qu’il a donné lieu à des pressions ou interprétations contraires aux textes réglementaires dans le seul but de faire du chiffre et de sauver le Pacte. Par ailleurs, le ministre s’entête à refuser les mesures salariales d’urgence qui permettraient de sortir les AESH et les AED de la précarité.
Il est encore temps de renoncer aux suppressions de postes pour permettre notamment d’alléger les effectifs par classe mais aussi d’assurer les remplacements. Il faudrait également recruter davantage de personnels dans l’ensemble des équipes pluriprofessionnelles … La dégradation des conditions de travail, la perte du sens du métier doivent être pris au sérieux. La formation continue saccagée, l’inclusion sans moyens, les effectifs nombreux dans les classes, etc. : tout cela contribue à dégrader encore davantage les conditions de travail.
Sur la question de l’inclusion, tous les voyants sont au rouge et les personnels enseignants et AESH sont à un point de rupture. C’est pourquoi nos organisations revendiquent :
- La défense de l’enseignement spécialisé et adapté, le maintien et la création des places nécessaires dans les établissements sociaux et médico-sociaux.
- Un statut de fonctionnaire et un vrai salaire pour les AESH, des recrutements d’AESH et de moyens humains à hauteur des besoins.
- L’abandon des mesures prises dans le cadre de l’acte 2 de l’Ecole inclusive (statut d’emploi d’ARE fusionnant les AESH et les AED, mise en place des pôles d’appui à la scolarité permettant à l’Education nationale de mettre la main sur les notifications MDPH) et l’ouverture de discussions avec les organisations syndicales sur la base des revendications des personnels.
Le projet de réforme du lycée professionnel est emblématique du moins d’école, moins d’enseignant·es, plus d’entreprises, plus d’externalisation des missions, et plus de management ! Cette réforme est à rebours des enjeux éducatifs, elle engage des bouleversements majeurs qui auront aussi un impact lourd sur les conditions de travail de l’ensemble des personnels exerçant en lycées professionnels et sur les conditions d’apprentissage des élèves.
Nos organisations en exigent le retrait ! Elles demandent au ministre de renoncer à présenter ce projet et à engager de véritables concertations au sein du ministère de l’Education nationale sur la base d’un diagnostic rigoureux à partager sur l’état de l’enseignement professionnel tant pour les élèves que pour les conditions de travail des personnels avant toute réforme.
Plus globalement, les mesures “Choc des savoirs” annoncées par le Ministre dessinent un projet d’école qui revient sur l’objectif de démocratisation et aggrave les inégalités. Elles vont encore dans le sens d’un contrôle accru du travail enseignant (manuel unique, méthodes imposées, évaluations standardisées) contre la liberté pédagogique.
Pour toutes ces raisons, les organisations FSU, FNEC FP – FO, CGT Educ’action et Sud éducation appellent à se mobiliser par des actions diversifiées dès maintenant et à préparer une journée de grève et de manifestations le 1er février.